Le modèle WCHC a la forme d'une « maison » pour représenter la sécurité et la stabilité, aspects essentiels à la prestation des soins. Les soins sensibles aux traumatismes et à la violence constituent le « fondement » permettant de reconnaître les taux alarmants de violence, de traumatismes et d’oppressions croisées auxquelles les femmes vivant avec le VIH sont confrontées.

 

Les soins centrés sur la personne et axés sur les déterminants sociaux de la santé et de la famille constituent le « premier étage ». Pour de nombreuses femmes, veiller à ce que leur famille soit prise en charge est essentiel à leur bien-être, tout comme garantir un logement adéquat et un revenu décent ainsi que d'autres déterminants sociaux de la santé. Le « deuxième étage » contient 3 pièces :soins compétents en matière de VIH est intégré àsanté des femmes (y compris la santé et les droits sexuels et reproductifs) etsoins de santé mentale et de toxicomanie; ceci est important car de nombreuses femmes vivant avec le VIH ne consultent aucun autre clinicien que leur clinicien VIH.

 

Le « toit » contient le soutien par les pairs, le leadership et le renforcement des capacités qui font partie intégrante du modèle. La femme elle-même est la composante la plus essentielle du modèle. La WCHC met l’accent sur le principe de prise de décision en matière de soins partagés, soit des soins centrés sur la personne. La femme est souvent soutenue par un pair pour entrer dans la maison ; ensemble, les femmes soutiennent l’élément brillant du soutien par les pairs.

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Pour en savoir plus sur le modèle WCHC et son développement, veuillez consulter l'article de Loutfyet coll. (2021) : vous pouvezlisez-le gratuitement en ligne outéléchargez une copie ici.